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dimanche 19 juillet 2009

Le secret des Sélénites


Figurine en bois peint, 2" de haut

Figurine inspirée des extra-terrestres (les Vertprés...) attaquant les Sélénites en espérant leur voler un talisman les rendant immortels. Heureusement que, par hasard, le Baron de Munchhausen y était pour les mêmes raison mais en moins belliqueux !


Image tirée du film
Ce film d'animation (1982), par Jean Image, j'ai dû le voir 1 million de fois durant l'enfance et, dans une crise de nostalgie intense, j'ai peint une figurine :-)
Je ne savais pas à l'époque qu'il s'agissait en fait d'un épisode des Aventures du Baron de Munchhausen, mythomane célèbre et haut en couleurs!! Quel plaisir de le retrouver dans le film de Terry Gilliam! (Les aventures du Baron de Munchhausen - j'ai voulu mettre un lien mais ça n'a pas fonctionné... pff...)

Il faut aussi lire l'adaptation de ses aventures par August Bürger (je ne lis pas l'allemand malheureusement, mais il existe une traduction française).
Le célèbre baron a apparemment bel et bien existé et voici ce qu'on en dit sur Wikipédia: "Karl Friedrich Hieronymus Freiherr von Münchhausen naît le 11 mai 1720 à Bodenwerder dans le Weserbergland, ancien duché de Brunswick. Il est dans sa jeunesse page du duc de Brunswick-Lüneberg. Il suit son maître en 1740 pour devenir mercenaire de l'armée russe. Il combat pendant dix ans dans l'armée d'Élisabeth Ire de Russie contre les Turcs de l'Empire Ottoman, en Crimée. Il épouse Jacobine von Dunten en 1744 en Lettonie.
Il est nommé en 1750 capitaine de cavalerie avant de quitter l'armée russe. Lors de son retour en Allemagne, il confie à l'écrivain Rudolf Erich Raspe ses « extraordinaires » aventures avant de se fixer à Hanovre. Surnommé le « baron de Crac » (« baron du mensonge »), il aurait voyagé sur la Lune sur un boulet de canon et aurait dansé avec Vénus. Veuf en 1790, il se remarie en 1794, union qui s'achève par un divorce. Il meurt le 22 février 1797 de la fièvre typhoïde, ruiné."


C'est amusant, on aime bien les mythomanes en littérature. Peut-être est-ce parce qu'on doit l'être un peu pour raconter des histoires captivantes ! Personnellement, je me fous que les histoires qu'on me raconte soient vraies ou fausses, si elles sont bien contées ça m'enchante! Serais-je si passionnée par Romain Gary s'il nous avait platement conté sa vie telle quelle et sans sa fantaisie ? D'ailleurs, Gary à l'instar du Baron n'a pas fini sa vie dans l'allégresse... les originaux ont peut-être du mal avec ce réel qui est trop souvent, avouons-le, décevant.

2 commentaires:

  1. Il est vrai que la vie serait bien plate sans toutes ces histoires, inventées ou non. On trouve la vie des autres bien plus fascinante que la nôtre et on est tenté, plus ou moins, de l'enjoliver lorsqu'on se raconte. Mais c'est bien, il paraît que c'est très thérapeutique !

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  2. Il est vrai que la vie serait bien plate sans toutes ces histoires, inventées ou non. On trouve la vie des autres bien plus fascinante que la nôtre et on est tenté, plus ou moins, d'enjoliver celle-ci lorsqu'on se raconte. Mais c'est bien, il paraît que c'est très thérapeutique !

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